IT is well known that the art of logic (logica or diale(c)tica) knew a remarkable flourishing period during the twelfth century. In the first half of the century its main centres in Paris were: the School of Notre DameI, of St. Victor2, of the Petit Pont3 and of Mont Ste Geneviève4. The present paper aims to offer some new evidence from the manuscripts on the teaching of logic as given in the School of Mont Ste.

Le but de cet article est une critique de la philosophie politique de M. Eric Weil. Par opposition à M. Weil, l'auteur définit la „politique" ici comme l'art du réalisable, à préciser comme : l'art d'arriver à court terme à une organisation de la société qu'on estime meilleure, et cela en employant tous les moyens permis. L'homme politique n'est pas, ainsi que l'affirme M. Weil, un „saint de Vtmiversel”, qui, en ce qui concerne l'emploi de la violence, se trouve au-dessus (...) de la loi. Ce „politicien-éducateur” est en vérité l'appui des régimes totalitaires et est d'ailleurs inconcevable en dehors de ceux-ci. En outre la théorie de M. Weil contient un certain nombre de contradictions internes et, si on la mesure à la pratique, elle se trouve être déficiente à beaucoup d'égards. Contre la conception platonicienne de M. Weil l'auteur défend la thèse que la politique n'est pas une infraction, regrettable mais inévitable, à „la morale”. C'est la tâche de l'homme politique de supprimer toutes les absurdités, inconséquences et injustices qui entachent les structures de la société. Ce qui, concrètement, est absurde, inconséquent ou injuste n'est pas déterminé par „la morale”, mais par la conscience du droit et par le sentiment moral d'une époque donnée. Les „certitudes” d'où part l'homme politique ne sont pas des Idées platoniciennes, mais des hypothèses de travail, qui dérivent leur contenu non pas de la contemplation des Idées, mais d'une notion de ce qui est juste et désirable, notion qui est déterminée par les conditions matérielles et spirituelles et qui se trouve dans un changement continuel. (shrink)

Basically, a historian's conception of history is to be judged by the status he assigns to historical fact. We on our part have defined fact as the mental entity to which direct reference is made by a descriptive statement accepted as true (1.2-1.4). Next, we have tried to throw further light on this conception, not least by enlisting the aid of linguistics (1.5-1.7). History-as distinct from what others have termed 'history in an objective sense'-has been defined as 'histoire connaissance', whose (...) central concerns it is to render insightful what we have called the vis-à-vis (XYZ), sometimes indicated by the, to me repellent, term 'histoire réalité' (2.2). Further reflection on what ultimately constitutes fact has led us to adopt, in line with others, an extension of Kuhn's paradigm concept. (shrink)